14. Médecine individualisée

1. Microbiote Selon la définition de l’INSERM, ’“un microbiote est l’ensemble des micro-organismes – bactéries, virus, parasites et champignons non pathogènes, dits commensaux – qui vivent dans un environnement spécifique.” (Inserm, 2021). Ces micro-organismes entretiennent une relation de symbiose avec leur hôte, pour maintenir un état d’équilibre bénéfique à toutes les parties. Ainsi, un être

12. Adjuvants vaccinaux

00:55:19. Le documentaire aborde la question des adjuvants vaccinaux sous l’angle des risques qu’ils feraient peser chez les personnes vaccinées. “Si dans certains cas les bénéfices sont difficiles à évaluer, le médecin peut se retrouver également démuni pour mesurer les risques. Notamment le risque lié aux adjuvants.” Rappelons ici que l’évaluation de la balance bénéfice-risque

13. Multi-vaccination

Il semble tout d’abord important de dire que le film joue avec le terme de “multi-vaccination”, en confondant régulièrement deux phénomènes bien distincts : la multiplication des vaccins (le fait qu’on reçoive 5, 10, 20 vaccins différents au cours de sa vie) et la vaccination simultanée (le fait qu’on reçoive 2, 4 ou 5 vaccins

11. HPV et Gardasil

00:46:44 : La voix off nous propose maintenant de nous arrêter sur le cas du Gardasil®, et plus généralement sur la vaccination anti-HPV (anti-Papillomavirus humain). Deux intervenants sont mis en en avant dans ce documentaire pour nous parler du sujet : Diane Harper et Michel de Lorgeril. Les propos de Diane Harper sont issus d’un

10. Vaccin antigrippal et communication du CDC

Dans ce documentaire, la vaccination antigrippale concerne essentiellement la grippe saisonnière. Elle est présentée comme inefficace : Peter Doshi s’exprime en ces termes : “On est parti du groupe très légitime des personnes âgées et aujourd’hui, à qui nos autorités de Santé recommandent-elles de se vacciner ? Tout le monde à partir de l’âge de

9. Critique de l’évaluation la balance bénéfice-risque des vaccins

Demander une nouvelle évaluation de la balance bénéfice risque se justifie, selon le documentaire, par deux arguments : une surévaluation de la dangerosité des maladies contre lesquelles on vaccine et une sous-évaluation des risques liés aux vaccins. Le premier exemple qui apparaît dans le documentaire concerne la rougeole, lorsque Geneviève Farrachi dit, entre 24’37 et

8. Effets non spécifiques des vaccins

Peter Aaby mentionne une étude où il aurait prouvé, avec son équipe, que la vaccination DTC (Diphtérie Tétanos Coqueluche) (1) pose plusieurs problèmes (2) (3). Point supplémentaire, Peter Aaby affirme que leurs résultats ont été vérifiés par les experts de l’OMS, et qu’ils ont été reconnus corrects. Or ce n’est pas ce qui ressort des

7. Immunité naturelle vs immunité vaccinale et vaccin muqueux

00:28:30 : Voix Off. Vidéo de personnes qui éternuent. “La protection de groupes par la vaccination peut se révéler particulièrement difficile à atteindre dans le cas d’un virus respiratoire. Protéger les plus fragiles en les entourant de gens vaccinés, suppose que l’immunisation ainsi obtenue interrompt vraiment la transmission du virus.” 00:28:50 : Michel de Lorgeril

6. La rougeole

00:19:20 Vidéo : un enfant revient de l’école, il en a été renvoyé parce qu’il a la rougeole et de la fièvre. Voix Off : “Dans les années 60, la rougeole est presque un rite de passage pour les enfants, comme le montre cette sitcom américaine de 1969. La rougeole, considérée alors comme maladie bénigne

5. La Variole

Après la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite , le documentaire aborde le sujet de la variole. Pour ce faire, il présente William Forge, qui a initié des campagnes de vaccination au Nigéria et en Inde. Le documentaire profite de la  situation particulière du Nigéria (le manque de stocks de vaccins, ce qui empêchait d’organiser